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Une nouvelle génération de toilettes

Des chercheurs en technologie ont développé un nouveau prototype de toilettes. Celles-ci font partie de l’initiative G2RT « Generation 2 Reinvent the Toilet» et sont exposées au sein du prestigieux bâtiment Kendeda.

La recherche d’une toilette écologique

Le « Kendeda Building for Innovative Sustainable Design » est un bâtiment universitaire multidisciplinaire implanté sur le campus principal du Georgia Institute of Technology à Atlanta, en Géorgie, aux États-Unis.

Ce bâtiment Kendeda est à la pointe de la recherche en solutions durables sur le campus. Ses administrateurs développent sans cesse de nouvelles idées afin de réduire les gaspillages en énergie et en eau. C’est ainsi que ce bâtiment accueille ce nouveau prototype de toilettes capable de progrès écologiques dans la gestion des eaux usées.


Un bâtiment démonstrateur de durabilité

Kendeda est qualifié de bâtiment vivant, répondant à certaines exigences pour prouver qu’il donne plus à l’environnement qu’il n’en prend. Ainsi, 100% de l’eau utilisée actuellement par les résidents provient des précipitations récupérées ou bien des systèmes d’eau en circuit fermé.

Un système de toilettes performant

Le cycle complet comprend la collecte des eaux de pluie sur le bâtiment, la gestion de ces eaux de ruissellement et le traitement des eaux usées sans aucun raccordement à un système d’égouts. Dans Kendeda, ce dernier est partiellement réalisé grâce aux 12 toilettes à compost et aux quatre urinoirs qui traitent les eaux noires, celles contenant de la matière organique.

Les étudiants remarquent les toilettes inhabituelles du bâtiment Kendeda mais ne sont pas toujours conscients de leurs mécanismes de fonctionnement. Chaque utilisateur des toilettes se doit de n’utiliser qu’un peu d’électricité, un peu d’eau et du savon. Le processus d’utilisation des toilettes actuelles consiste simplement à faire un dépôt et à se laver les mains avec du savon, l’ensemble étant dirigé vers des bacs de collecte au sous-sol.

Des limites contraignantes

Malgré son efficacité, il existe cependant des limites au système actuel. En effet, cette solution ne fonctionne que dans les bâtiments de moins de cinq étages. Aussi, le bâtiment doit avoir été construit autour de la prise en compte de ce système de toilettes, qui n’est pas adaptable à un immeuble traditionnel. En fait, il faut concevoir le bâtiment autour de la pièce où les déjections finissent.

Aussi, il faut bien sur recevoir l’adhésion de tous les utilisateurs. Sur un campus où les étudiants sont tous impliqués, cela est facile. Mais, c’est une horriblement compliqué dans une zone à fort trafic parce qu’il faut changer le comportement de tous, notamment sur la quantité de papier toilette à utiliser. En effet, trop de papier peut provoquer l’arrêt de ces toilettes actuelles. Pour remédier à ce problème la solution consisterait à augmenter la fréquence d’entretien des toilettes, par des passages plus fréquents du personnel. Mais cela génère des coûts salariaux.

Une généralisation délicate

Si ces toilettes actuelles permettent d’économiser de l’eau et de l’énergie, leurs limites entravent donc leur application autour du globe. C’est pourquoi cette équipe mondiale de chercheurs s’intéresse à la conception de nouveaux sanitaires durables plus accessibles aux personnes du monde entier. Il faut savoir qu’il y a environ 4,5 milliards de personnes sur cette planète qui n’ont pas accès à un assainissement acceptable.

Pour comprendre le défi, il faut savoir que la quantité d’électricité nécessaire pour traiter les eaux usées et produire de l’eau potable représente environ 30 à 40% de l’énergie consommée des villes.

Un nouveau prototype de toilettes

Ce sont ces circonstances entourant l’assainissement et l’eau potable dans le monde qui ont conduit au développement du projet G2RT. Ainsi, en collaboration avec une équipe mondiale de scientifiques et d’ingénieurs, ce projet a mis au point deux prototypes fonctionnels, dont un a récemment été installé dans ce fameux bâtiment Kendeda.

Ce sanitaire possède l’apparence et le fonctionnement d’une toilette conventionnelle. L’utilisateur ne doit rien changer à son comportement face à ce prototype. Celui-ci n’utilise que 0,2 litre d’eau, soit 30 fois moins qu’une toilette conventionnelle aux États-Unis, et ne consomme qu’un kilowattheure d’énergie par jour.

Ce type de toilette a un système d’aspiration capable d’aspirer les déchets et de nettoyer la cuvette. Ces déchets sont ensuite séparé en liquides et en solides. En bout de chaine, un procédé de pasteurisation et/ou de déshydratation mécanique intervient pour le traitement final des déchets.

Un modèle capable de se mondialiser

Ainsi, ces nouvelles toilettes produisent de l’eau propre à partir de l’urine et des autres liquides récupérés. Elles produisent des matières sèches à partir des excréments qui peuvent servir comme compost ou combustible.

Les ingénieurs ont également pensé aux différentes cultures mondiales. Ainsi, l’utilisateur peut choisir le papier toilette, le bidet ou bien le wc japonais pour assurer son hygiène en complément de l’utilisation de ces nouvelles toilettes. Des modèles sans sièges à la turc peuvent aussi être créés.

Ces toilettes représentent une solution capable de satisfaire la moitié de la population du globe et c’est la raison pour laquelle l’université Georgia Tech est à la tête d’une collaboration mondiale.

Les WC publics japonais et l’hygiène nipponne

Les habitations japonaises sont équipées à plus de 75% de toilettes lavantes. Dés lors, il est logique que la population habituée à un haut niveau d’hygiène au domicile veuille conserver ce confort à l’extérieur. Les sanitaires du domicile sont donc propres… et les wc japonais publics le sont presque tout autant. Les étrangers qui visitent les grands centres commerciaux nippons sont surpris par l’extraordinaire expérience d’utilisation qui leur est offerte !

La journée mondiale des toilettes

Près de 2,4 milliards de personnes sur terre (soit 1 personne sur 3) n’ont pas accès à de véritables toilettes. La journée mondiale des toilettes a pour objectif de faire réfléchir, institutions et citoyens, sur la crise mondiale majeure de l’assainissement au vu de l’augmentation de la population planétaire. Cet événement veut éclairer sur l’importance de l’assainissement ainsi que sur l’accès à la propreté pour tous, ces deux objectifs représentant une sécurité sanitaire nécessaire aux toilettes à l’échelle du globe.

Comparatif sur les blocs wc de nos cuvettes

Les blocs WC séduisent énormément de français. On estime que le marché représente entre 15 et 20 millions de ménages consommant ces produits pour leurs lieux d’aisance comme si ceux-ci étaient vraiment une nécessité absolue, du moins à en croire les fabricants…

Comment éviter la déforestation massive due au papier toilette ?

Combien d’arbres sont abattus chaque année pour essuyer les fesses de toute l’humanité ? La production du papier toilette puis son recyclage sont des fléaux écologiques ! Chaque utilisateur dudit papier devrait avoir une pensée environnementale pour l’écologie avant de commencer un essuyage inutile de son anus et/ou de sa vulve.

Équiper un sanitaire sanibroyeur d’un wc japonais

Un wc broyeur n’est pas une toilette classique. Ainsi, les éléments qui se présentent dans la cuvette doivent être broyés intégralement pour leur assurer d’être évacués. En conséquence, les déchets comme les protections féminines, les couches ou les lingettes doivent être proscrits.

Le wc japonais contre l’usage du papier cul !

Le wc japonais avec son célèbre petit jet d’eau lavant offre désormais la possibilité de supprimer la traditionnelle consommation de papier cul. L’eau sous pression diffusée par le bidet incorporé du wc lavant fait office de “karsher” en décapant les traces d’excréments autour de la région anale et en insistant bien sur les plis et les sillons de l’anus.

Un wc lavant pour se protéger du coronavirus covid-19 ?

Pour empêcher la propagation d’un virus comme le COVID 19, l’hygiène des mains est un impératif. Le wc lavant japonais, avec le bénéfice d’un jet d’eau hygiénique, permet une lutte efficace des risques de transmission d’un virus. Ainsi, il empêche tous contacts des mains avec les matières fécales potentiellement infectées par LE virus. En effet, l’utilisateur d’une toilette japonaise lavante conserve des mains pures respectants les normes de distances sociales et physiques !

La grande aventure de la vespasienne

A Paris, une vespasienne était un urinoir public unisexe à usage des hommes. Elles trouvait sa place dans des lieux de nécessité essentiellement sur les trottoirs, les parcs et tous les espaces publics fréquentés. Elle était équipée de cloisons permettant un minimum d’intimité. La première vespasienne fut implantée en 1834 à Paris et son parc disparaitra en 1980. Elle aura offert 146 années de bons et loyaux services aux parisiens.

Les latrines romaines ou le wc lavant de l’antiquité

Au lever du trône, se laver les fesses avec une éponge au lieu de se les essuyer avec du papier… est ce une drôle d’idée ? Dépourvu de papier toilette, les romains utilisaient un système d’éponge pour se laver la région anale après avoir déféqué. Les latrines romaines étaient des toilettes publiques utilisant un concept très ingénieux.

La diffusion de l’innovation du wc japonais

Au Japon, plus de 80% des foyers sont équipés de wc lavants. Jeune ou vieux, avec ou sans handicap, homme ou femme, tout le monde possède un anus et a besoin de déféquer. Aussi, nous avons tous aussi le besoin de redevenir propre après un passage sur le trône. En conséquence au Japon, ce wc lavant est devenu une norme… ce qui est très loin d’être le cas en France.

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