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Une réglementation pour les sanitaires au travail

Une entreprise doit garantir l’hygiène de ses salariés et leurs bonnes conditions de travail. L’employeur est ainsi tenu de mettre à disposition de ses effectifs un ensemble de moyens permettant aux salariés d’assurer leur propreté individuelle. S’il doit dans certains cas fournir des vestiaires, des lavabos, des douches, il doit toujours fournir des cabinets d’aisance.

Qu’est ce qu’un cabinet d’aisance ?

Le cabinet d’aisance est le vocable communément mentionné dans le Code du travail afin de désigner les toilettes en entreprise. Il désigne aussi l’ensemble des autres appellations courantes des lieux d’aisance tels les sanitaires, les latrines, les waters, les wc, les cabinets, etc… En entreprise, ces lieux répondent à une très stricte réglementation pour le bien être du salarié. L’employeur est soumis à de nombreuses obligations.

Des cabinets d’aisance pour les salariés

La présence et le bon état des toilettes sont des critères importants pour le bien-être des salariés. Cependant, en dehors de la conformité aux obligations légales, on remarque que les employeurs prêtent peu d’attention aux sanitaires. C’est ce que révèle une enquête d’Hygiene Matters qui rapporte que 44% des salariés français souhaitent que les toilettes soient mieux entretenues par l’employeur. Aussi, 20% des salariés déclarent se retenir d’y aller en raison du manque de propreté. Ce constat est assez choquant car l’état des wc est un facteur important pour le bien-être au travail… et par conséquent pour la motivation et la rentabilité du salarié.

Aussi, les entreprises devraient avoir conscience que beaucoup de salariés ne fréquentent pas les toilettes uniquement pour se soulager. En effet, selon Hygiene Matters, les salariés français vont aussi aux sanitaires pour se changer, téléphoner ou envoyer des sms, boire et manger, discuter entre eux, pleurer et s’isoler des autres. En conséquence, les lieux d’aisance ont une très grande importance pour le bon fonctionnement d’une entreprise.

Quelles obligations pour les sanitaires de l’entreprise ?

L’employeur doit mettre à disposition des salariés tout un ensemble de moyens devant permettre une propreté individuelle dans les meilleures conditions.
Equipements sanitaires :
Le nombre de cabinets, d’urinoirs et de lavabos à installer dépend de l’effectif des salariés présents simultanément dans l’établissement, qu’ils soient en contrat à durée déterminée ou indéterminée, à temps complet ou à temps partiel. Le nombre de cabinets augmente suivant le nombre des salariés (un cabinet et un urinoir pour 20 hommes – deux cabinets pour 20 femmes, etc…). Le décompte est à faire séparément pour les femmes et pour les hommes, par tranche de 20 personnes.
Emplacement du lieu d’aisance :
Les wc ne doivent pas communiquer directement avec les locaux où les salariés exercent leur travail. Ainsi, un sas obligatoire doit exister afin de séparer les deux espaces. C’est en général la place qu’occupe le lavabo.
Personnel mixte :
La mixité homme/femme en entreprise impose une mise à disposition de toilettes séparées pour chaque sexe. Pour les toilettes à usage féminin, une poubelle dédiée aux garnitures périodiques doit être présent.
Accessibilité & handicap :
En présence de salariés handicapés, il est obligatoire de prévoir des toilettes adaptées facilement accessibles. A noter que la réglementation de non mixité s’applique aussi en cas d’emploie de travailleuses et travailleurs handicapés.
Confort :
L’employeur se charge de fournir des locaux nettoyés et désinfectés au moins une fois par jour, lesquels doivent être aérés et chauffés durant les heures de présence. Les wc doivent être équipés de chasse d’eau. Les salariés doivent pouvoir utiliser du papier toilette ainsi que des moyens de nettoyage, d’essuyage ou de séchage des mains.

 

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Une réglementation pour les sanitaires au travail

Une entreprise doit garantir l’hygiène de ses salariés et leurs bonnes conditions de travail. L’employeur est ainsi tenu de mettre à disposition de ses effectifs un ensemble de moyens permettant aux salariés d’assurer leur propreté individuelle. S’il doit dans certains cas fournir des vestiaires, des lavabos, des douches, il doit toujours fournir des cabinets d’aisance.

Qu’est ce qu’un cabinet d’aisance ?

Le cabinet d’aisance est le vocable communément mentionné dans le Code du travail afin de désigner les toilettes en entreprise. Il désigne aussi l’ensemble des autres appellations courantes des lieux d’aisance tels les sanitaires, les latrines, les waters, les wc, les cabinets, etc… En entreprise, ces lieux répondent à une très stricte réglementation pour le bien être du salarié. L’employeur est soumis à de nombreuses obligations.

Des cabinets d’aisance pour les salariés

La présence et le bon état des toilettes sont des critères importants pour le bien-être des salariés. Cependant, en dehors de la conformité aux obligations légales, on remarque que les employeurs prêtent peu d’attention aux sanitaires. C’est ce que révèle une enquête d’Hygiene Matters qui rapporte que 44% des salariés français souhaitent que les toilettes soient mieux entretenues par l’employeur. Aussi, 20% des salariés déclarent se retenir d’y aller en raison du manque de propreté. Ce constat est assez choquant car l’état des wc est un facteur important pour le bien-être au travail… et par conséquent pour la motivation et la rentabilité du salarié.

Aussi, les entreprises devraient avoir conscience que beaucoup de salariés ne fréquentent pas les toilettes uniquement pour se soulager. En effet, selon Hygiene Matters, les salariés français vont aussi aux sanitaires pour se changer, téléphoner ou envoyer des sms, boire et manger, discuter entre eux, pleurer et s’isoler des autres. En conséquence, les lieux d’aisance ont une très grande importance pour le bon fonctionnement d’une entreprise.

Quelles obligations pour les sanitaires de l’entreprise ?

L’employeur doit mettre à disposition des salariés tout un ensemble de moyens devant permettre une propreté individuelle dans les meilleures conditions.
Equipements sanitaires :
Le nombre de cabinets, d’urinoirs et de lavabos à installer dépend de l’effectif des salariés présents simultanément dans l’établissement, qu’ils soient en contrat à durée déterminée ou indéterminée, à temps complet ou à temps partiel. Le nombre de cabinets augmente suivant le nombre des salariés (un cabinet et un urinoir pour 20 hommes – deux cabinets pour 20 femmes, etc…). Le décompte est à faire séparément pour les femmes et pour les hommes, par tranche de 20 personnes.
Emplacement du lieu d’aisance :
Les wc ne doivent pas communiquer directement avec les locaux où les salariés exercent leur travail. Ainsi, un sas obligatoire doit exister afin de séparer les deux espaces. C’est en général la place qu’occupe le lavabo.
Personnel mixte :
La mixité homme/femme en entreprise impose une mise à disposition de toilettes séparées pour chaque sexe. Pour les toilettes à usage féminin, une poubelle dédiée aux garnitures périodiques doit être présent.
Accessibilité & handicap :
En présence de salariés handicapés, il est obligatoire de prévoir des toilettes adaptées facilement accessibles. A noter que la réglementation de non mixité s’applique aussi en cas d’emploie de travailleuses et travailleurs handicapés.
Confort :
L’employeur se charge de fournir des locaux nettoyés et désinfectés au moins une fois par jour, lesquels doivent être aérés et chauffés durant les heures de présence. Les wc doivent être équipés de chasse d’eau. Les salariés doivent pouvoir utiliser du papier toilette ainsi que des moyens de nettoyage, d’essuyage ou de séchage des mains.

Des dispenses de la réglementation des sanitaires

Les entreprises sont en général assez respectueuses de la loi et appliquent celle-ci. Cependant, suivant la taille de l’entreprise, une loi peut être difficile à respecter dans tous ses détails. Ainsi, celles ayant un petit effectif ou ayant des locaux de faibles superficies, anciens, inadaptés, ne peuvent avec bonne foi respecter exactement les règles prévues.

Il existe alors pour ces cas précis des dispenses logiques de certaines obligations à solliciter auprès de l’inspecteur du travail. Cela est prévu par les articles R. 4228-16, 17 et 18 du Code du travail après consultation préalable du médecin du travail, du CHSCT, des délégués du personnel afin d’apporter la meilleure réponse aux nécessaires conditions d’hygiène.

Des sanctions appliquées par l’inspecteur du travail 

Il arrive qu’une entreprise contrevienne aux respects des règles d’hygiène, de sécurité et d’amélioration des conditions de travail pour ses salariés. Alors, pour forcer l’employeur, l’inspecteur ou le contrôleur du travail ont les prérogatives de pouvoir dresser un procès-verbal et d’émettre une mise en demeure d’application des règles d’hygiène (entre 4 jours et 1 mois selon les cas).

Puis, si à l’expiration du délai fixé par la mise en demeure, le contrevenant n’a toujours pas pris de mesures, le procès-verbal sera transmis au procureur de la République. L’employeur est alors passible d’une amende et/ou d’une peine d’emprisonnement. La réglementation des toilettes dans une entreprise n’est pas à prendre à la légère.

La réglementation des cabinets d’aisance en entreprise

Dispositions générales applicables concernant les cabinets d’aisance
☛ Article R4228-10 :
« Il existe au moins un cabinet d’aisance et un urinoir pour vingt hommes et deux cabinets pour vingt femmes. L’effectif pris en compte est le nombre maximal de travailleurs présents simultanément dans l’établissement. Un cabinet au moins comporte un poste d’eau. Dans les établissements employant un personnel mixte, les cabinets d’aisance sont séparés pour le personnel féminin et masculin. Les cabinets d’aisance réservés aux femmes comportent un récipient pour garnitures périodiques.«
☛ Article R4228-11:
« Les cabinets d’aisance ne peuvent communiquer directement avec les locaux fermés dans lesquels les travailleurs sont appelés à séjourner. Ils sont aménagés de manière à ne dégager aucune odeur. Ils sont équipés de chasse d’eau et pourvus de papier hygiénique.«
☛ Article R4228-12 :
« Les cabinets d’aisance sont aérés conformément aux règles d’aération et d’assainissement du chapitre II et convenablement chauffés.«
☛ Article R4228-13
« Le sol et les parois des cabinets d’aisance sont en matériaux imperméables permettant un nettoyage efficace. L’employeur fait procéder au nettoyage et à la désinfection des cabinets d’aisance et des urinoirs au moins une fois par jour.«
☛ Article R4228-14 :
« Les portes des cabinets d’aisance sont pleines et munies d’un dispositif de fermeture intérieure décondamnable de l’extérieur.«
☛ Article R4228-15 :
« Les effluents des cabinets d’aisance sont évacués conformément aux règlements sanitaires. »

Accessibilité des lieux de travail aux travailleurs handicapés
☛ Article R4214-26 :
« Les lieux de travail, y compris les locaux annexes, aménagés dans un bâtiment neuf ou dans la partie neuve d’un bâtiment existant sont accessibles aux personnes handicapées, quel que soit leur type de handicap. Les lieux de travail sont considérés comme accessibles aux personnes handicapées lorsque celles-ci peuvent accéder à ces lieux, y circuler, les évacuer, se repérer, communiquer, avec la plus grande autonomie possible. Les lieux de travail sont conçus de manière à permettre l’adaptation des postes de travail aux personnes handicapées ou à rendre ultérieurement possible l’adaptation des postes de travail.«

Accessibilité les lieux d’aisances aux personnes handicapées
☛ Article 6 :
(Arrêté du 27 juin 1994 relatif aux dispositions destinées à rendre accessibles les lieux de travail aux personnes handicapées (nouvelles constructions ou aménagements) en application de l’article R. 235-3-18 du code du travail)
« En application de l’article R. 235-3-18, les bâtiments accessibles aux handicapés doivent comporter au moins un cabinet d’aisances et un lavabo placé à proximité, aménagés de manière à en permettre l’accès et l’usage autonomes par des personnes circulant en fauteuil roulant. Le nombre de ces équipements accessibles est précisé à l’article R. 235-2-13.
Chaque cabinet d’aisances accessible doit comporter un espace d’accès, à côté de la cuvette, de dimensions minimales, hors tout obstacle et hors débattement de porte, de 0,80 mètre par 1,30 mètre. La hauteur de la cuvette est comprise entre 0,46 mètre et 0,50 mètre. La commande de chasse d’eau doit pouvoir être atteinte par la personne handicapée et être facile à manoeuvrer par une personne ayant des difficultés de préhension. Une barre d’appui latérale doit être installée pour faciliter le transfert sur la cuvette. Cette barre d’appui doit comporter une partie horizontale située à côté de la cuvette et à une hauteur comprise entre 0,70 mètre et 0,80 mètre. Le cabinet d’aisances et le lavabo accessibles aux personnes handicapées doivent être desservis par un cheminement praticable. Lorsque les installations sanitaires sont séparées par sexe, les aménagements définis ci-dessus doivent être prévus pour les personnes handicapées de chaque sexe. »

L’urinoir public au service des hommes… et des femmes !

Un urinoir est une simple cuvette en céramique munie d’une chasse d’eau sans réservoir qui permet à un homme d’uriner très simplement debout comme s’il le faisait contre un arbre. Sa conception est tellement ingénieuse et facile d’emploi que l’usage de ce sanitaire s’est généralisé à travers le monde… et vient aussi vers les femmes !

La grande aventure de la vespasienne

A Paris, une vespasienne était un urinoir public unisexe à usage des hommes. Elles trouvait sa place dans des lieux de nécessité essentiellement sur les trottoirs, les parcs et tous les espaces publics fréquentés. Elle était équipée de cloisons permettant un minimum d’intimité. La première vespasienne fut implantée en 1834 à Paris et son parc disparaitra en 1980. Elle aura offert 146 années de bons et loyaux services aux parisiens.

Un déclin de la baignoire à la française similaire au bidet

La baignoire à la française tend à s’effacer de nos moeurs, tant par sa présence dans nos salles de bain que par une utilisation appropriée. Ainsi, pour ceux qui en disposent encore, la baignoire s’impose dans un rôle unique de receveur de douche pour une hygiène quotidienne rapide.

L’installation des wc japonais dans les toilettes de France

Le wc japonais est un bijoux d’innovation technologique. Avec son bidet intégré diffusant un jet d’eau pour laver les zones intimes, sa ventilation pour sécher les fesses, son siège chauffant, sa lunette à ouverture automatique, il ne peut que réjouir son utilisateur. .. mais alors, pourquoi les français ne semblent ils pas enthousiastes de ces sanitaires ?

Une urinette pour les femmes

L’urinette féminine est une nouvelle liberté pour les femmes. C’est un accessoire indispensable qui trouve son utilité dans bien des situations d’urgences aux toilettes.

Le wc bidet intégré assure la toilette intime sur la cuvette

De nos jours, se laver les fesses sur un wc japonais est extrêmement pratique. Mais se laver à l’eau n’a pas toujours été possible… Ainsi, au XIV siècle, à l’exception des mains et du visage, la toilette corporelle est essentiellement sèche. C’est à dire que les parties sales du corps étaient simplement nettoyées sans liquides, uniquement frottées à l’aide d’un linge ou d’un autre accessoire (paille, laine, feuilles, etc…).

La parcoprésie ou la honte d’aller déféquer en public

La parcoprésie définit l’incroyable gêne, et jusqu’à la phobie, de déféquer ailleurs que chez soi. Le sujet peut paraitre cocasse mais près de 7 Français sur 10 reconnaissent être gênés à l’idée de simplement « chier » dans une situation de non-intimité, c’est à dire en dehors de chez eux.

L’évolution humaine aux toilettes, des feuilles d’arbres au wc japonais

Tout évolue par besoin de confort. Les feuilles des arbres ont laissé place à d’autres matières et matériaux. Du foin, des raclettes en bois, des coquillages, des éponges, de la laine de mouton, des chiffons, des tissus plus nobles, du papier journal… jusqu’au formidable wc japonais.

Comment se laver les mains après les toilettes ?

Il est une chose qui s’apprend à la maternelle mais qui s’oublie vite dès l’adolescence, alors que la présence d’un adulte n’oblige plus à un acte important. Alors, en quittant un lieu d’aisance, il faut penser à se protéger et à protéger les autres d’un manque d’hygiène. C’est pourquoi il est impératif de se laver les mains après s’être rendu sur le trône ou devant un urinoir.

Les toilettes spatiales des astronautes pour se soulager dans l’espace

Les besoins physiologiques humains restent les mêmes dans l’espace. L’utilisation d’un wc spatial n’est surement pas l’aspect le plus glamour des voyages spatiaux et l’expérience dont les astronautes parlent le plus. Apres mangé et bu, il faut déféquer et uriner. Cependant, la difficulté majeure par rapport à la terre est l’absence de pesanteur pour une utilisation correcte d’un sanitaire.  

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