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Connaissez vous la honte d’aller déféquer aux wc ?

Aller à la selle est un acte naturel dans l’ensemble du règne animal. L’être humain n’échappe pas à l’envie de devoir déféquer… mais surement pas en public ! Si le meilleur ami de l’homme ne connait pas de honte, nous n’avons pas tous une psychologie canine et l’anxiété liée à l’usage des wc peut être réelle, voir insurmontable entrainant des conséquences directes et indirectes plus ou moins graves. Le sujet peut paraitre cocasse mais près de 7 Français sur 10 reconnaissent être gênés à l’idée de simplement « chier » dans une situation de non-intimité, c’est à dire en dehors de chez soi.

Tous égaux aux WC en fin de digestion

Femme ou homme, jeune ou vieux, riche ou pauvre, diplômé ou sans diplôme, dirigeant ou subordonné, cadre ou ouvrier… nous avons tous un anus qui nous sert à déféquer. Ainsi, chacun imagine que son conjoint, son voisin, son supérieur, son collègue, etc… se rend quotidiennement sur le trône. Pourtant, ce sujet semble tabou tant il est normal de vouloir se dissimuler sur le chemin des toilettes et d’empêcher autrui de savoir ce que l’on va y faire ! Alors, existe t il une honte naturelle à vouloir nier la réalité ? La réponse est oui et un mot spécifique désigne même cette gêne à se rendre sur une cuvette de wc : la parcoprésie.

Qu’est ce que la parcoprésie ?

Ce mot savant définit l’incroyable gêne, et jusqu’à la phobie, de déféquer ailleurs que chez soi. En quittant l’atmosphère sécurisante de son domicile, pour se rendre au travail, au restaurant, chez des amis, en voyage ou en déplacement, la simple idée de devoir aller à la selle dans des toilettes publiques ou des wc peu familiers et surtout à proximité d’autres personnes, peut être une sérieuse source d’angoisse. Si vous ressentez une certaine honte suffisamment gênante pour freiner, empêcher et reporter une défécation, alors bienvenue dans le monde de la parcoprésie.

La peur de faire caca…

Pourquoi certaines personnes ressentent elles un tel embarras à l’idée de simplement déféquer dans un lieu public ? C’est simplement la peur d’être vu se rendre sur les lieux du crime, d’être imaginé dans l’acte par ses proches, pour revenir sous leurs regards inquisiteurs : il ou elle a été chier ! Il n’y a rien de glamour à ce moment de solitude et le retour dans le réel, près d’un conjoint, d’une amie, d’un collègue, d’un supérieur, peut être traumatisant si celui-ci a pleine conscience des raison de l’absence. Et c’est encore pire de quitter un groupe pour s’isoler, laissant l’imaginaire de tous s’envoler et profiter de l’absence pour laisser aller quelques mauvaises langues.

Une honte due à des atmosphères particulières :

Ce n’est pas forcement le lieu en lui même qui génère le plus la parcoprésie. C’est surtout la proximité d’autrui qui provoque une gêne empêchant le bon déroulement d’un acte pourtant très naturel. C’est la honte d’être vu aller au petit coin, le stress d’émettre des bruits, de laisser une trace olfactive, d’être imaginé tout simplement.
1. Chez un nouveau partenaire
Hommes et femmes reconnaissent des difficultés voir une incapacité à déféquer les premières fois chez leur nouveau partenaire sexuel surtout s’il se situe à proximité des WC. Il est vrai que défécation (bruits, odeurs) et sexualité peuvent ne pas faire bon ménage !
2. Chez des amis 
Etre chez des proches provoque des soucis suffisants aux deux sexes pour qu’ils se retiennent d’aller aux WC chez leurs amis d’autant plus que ceux-ci sont présents à proximité.
3. Sur le lieu de travail 
Près de 50% de la population avoue ne pas pouvoir aller à la selle sur son lieu de travail avec des collègues à proximité. Il semble qu’il soit plus difficile de déféquer à coté de personnes connues que d’inconnues.
4. Dans les toilettes publiques
Le pourcentage serait de 40% dans les toilettes des restaurants, gares, aéroports ou centres commerciaux.
5. A la maison
Ce sont surtout les femmes qui se se retiennent d’aller aux toilettes chez elles si d’autres personnes sont à proximité. Dans des cas extrêmes, certaines femmes vont jusqu’à attendre que leur conjoint soit occupé dans un autre pièce ou à dormir pour se rendre sur la cuvette.

 

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Des techniques de survie sociale

A chacun son astuce pour éviter la gêne de la parcoprésie. Attendre le bon moment, profiter de la pause déjeuner, aller à un autre étage, augmenter le volume d’un poste radio, fermer plusieurs portes, mettre du papier dans l’eau pour amortir le bruit, craquer une allumette pour dissiper les odeurs… jusqu’à se retenir. Les stratagèmes ne manquent pas lorsqu’il faut y aller.

Le bonheur du télétravail !

La crise du COVID a apporté une surprenante joie dans la vie des parcoprésiques. Obligés de quitter l’univers de l’entreprise et de la promiscuité des collègues de bureau, bon nombre de salariés ont apprécié de gouter au télétravail pour jouir de l’usage de l’intimité de leur cuvette de wc. Pouvoir se soulager de ses besoins naturels dans des toilettes non partagées n’a pas de prix. Les multiples confinements et la mise en place du télétravail, ont pu faire de nombreux heureux.

Une explosion de parcoprésie engendrée par le retour au présentiel 

Alors qu’il faut retourner au bureau à temps plein ou juste certains jours de la semaine, le simple fait de devoir redéféquer dans les toilettes de l’espace de travail collectif paraît encore plus difficile qu’avant, avec l’habitude prise de travailler chez soi où rien ne pouvait perturber le caca journalier entre deux réunions en visioconférences. Il en résulte que suivant des sondages, beaucoup de travailleurs se sentent encore moins à l’aise qu’avant pour faire caca au bureau et préfère se retenir pour rentrer se soulager chez eux dans leur wc.

Les femmes sont les principales victimes

Les femmes sont presque normalement plus touchées par le phénomène que les hommes, surtout si les toilettes sont mixtes. Les femmes ont besoin d’une plus grande intimité que les hommes. Ainsi, beaucoup préfèrent se retenir toute la journée pour effectuer leur grosse commission de retour chez elles ou dans un endroit ami. Il existe un poids culturel et psychologique qui pèse sur les femmes dans l’exercice de la défécation. C’est le syndrome de la princesse qui ne fait pipi que des paillettes. En effet culturellement, une femme est associée à la beauté et à la pureté.

Une femme qui va à la selle peut perdre de son charme et de son élégance alors que ce sera une normalité pour l’homme. D’ailleurs, dans les films les femmes s’excusent généralement en prétextant se refaire une beauté, se rafraichir… C’est toujours plus jolie que : « désolé de vous quitter mais je vais faire caca »

Des conséquences sur la santé

Tout le monde a bien évidemment été un jour confronté à de la gêne à l’idée de déféquer dans des situations de non-intimité au point de devoir se retenir. Il faut savoir que lorsque le rectum reçoit les selles, il émet un message au cerveau pour lui indiquer l’urgence d’aller aux toilettes.

Hors si cette phobie d’aller sur un trône autre que sur celui de son domicile conduit à se retenir, cette rétention fécale va provoquer des complications non sans danger pour la santé :

  • blocage du système digestif avec troubles de la digestion (crampes, douleurs dans le bas ventre)
  • irritation du colon et maladies inflammatoires de l’intestin
  • problèmes de constipation, défécation douloureuse, saignement (se retenir provoque le durcissement des selles)
  • infections urinaires et cystites

Les conséquences sociales de la rétention fécale

Des études démontrent que la parcoprésie est un trouble d’anxiété sociale. La peur du regard et de l’évaluation de l’autre, qui peuvent produire un impact sur l’image de la personne sortant des toilettes après avoir déféqué au sein du groupe, peut avoir des répercutions sur les relations professionnelles ou personnelles. Ainsi le rendement des salariés peut être impacté dans une entreprise tout comme l’atmposhère au sein d’un groupe d’amis.Il est vital que le passage aux toilettes ne reste pas un tabou. Au-delà du fait d’être mal à l’aise, le mal-être individuel ne doit pas s’inviter dans la qualité du travail ou les relations humaines à cause d’un simple passage sur une cuvette de wc.

Des solutions à la parcoprésie ?

Lorsque cette pathologie devient vraiment handicapante dans la vie de celui ou celle qui en souffre, il ne faut pas hésiter à en prendre conscience afin de rechercher des stratégies d’adaptations à ce trouble d’anxiété.

Une aide psychologique : en parler avec son médecin traitant sera la première solution, lequel renverra surement vers un psychologue pour la mise en place d’une thérapie cognitive et comportementale appropriée à cette situation de handicap.L’approche psychologique permettra de désamorcer ces sentiments de honte en rassurant le patient pour lui faire comprendre que déféquer est l’acte le plus naturel qui soit et que le faire dans le milieu public est tout à fait normal et courant.

La méthode japonaise :  au japon, il est courant que les wc japonais disposent d’une fonction permettant la diffusion de sons d’eau, de musiques, de chants d’oiseau, ceci afin de couvrir les bruits honteux de celui qui défèque. Certains modèles de toilettes japonaises offrent aussi des fonctions désodorisantes pour plus de confort. Ces fonctions sont souvent à disposition des femmes pour le bénéfice de leur intimité.

Une réorganisation des toilettes des bureaux : l’entreprise concernée par un grand nombre de parcoprésie peut aussi reconcevoir la disposition de ses lieux pour faire en sorte que les toilettes soient plus accueillantes avec des chemins d’accès qui ne forcent pas les salariés à se croiser. Des cloisons de séparation trop fines et des portes qui ne descendent pas jusqu’en bas sont à proscrire pour plus d’intimité visuelle et acoustique.

L’installation des wc japonais dans les toilettes de France

Le wc japonais est un bijoux d’innovation technologique. Avec son bidet intégré diffusant un jet d’eau pour laver les zones intimes, sa ventilation pour sécher les fesses, son siège chauffant, sa lunette à ouverture automatique, il ne peut que réjouir son utilisateur. .. mais alors, pourquoi les français ne semblent ils pas enthousiastes de ces sanitaires ?

Un déclin de la baignoire à la française similaire au bidet

La baignoire à la française tend à s’effacer de nos moeurs, tant par sa présence dans nos salles de bain que par une utilisation appropriée. Ainsi, pour ceux qui en disposent encore, la baignoire s’impose dans un rôle unique de receveur de douche pour une hygiène quotidienne rapide.

Documentaire “la grande bataille des toilettes”

Le réalisateur Arnaud Robert s’est penché sur les grands enjeux sanitaires et économiques mondiaux des déjections humaines. Ce documentaire est une prise de conscience des inégalités d’accès à un sanitaire.

La grande aventure de la vespasienne

A Paris, une vespasienne était un urinoir public unisexe à usage des hommes. Elles trouvait sa place dans des lieux de nécessité essentiellement sur les trottoirs, les parcs et tous les espaces publics fréquentés. Elle était équipée de cloisons permettant un minimum d’intimité. La première vespasienne fut implantée en 1834 à Paris et son parc disparaitra en 1980. Elle aura offert 146 années de bons et loyaux services aux parisiens.

La réglementation des sanitaires en entreprise

Une entreprise doit garantir l’hygiène de ses salariés et leurs bonnes conditions de travail. Le Code du travail oblige l’employeur de mettre à disposition de ses effectifs un ensemble de moyens permettant aux salariés d’assurer leur propreté individuelle. S’il doit dans certains cas fournir des vestiaires, des lavabos, des douches, il doit toujours fournir des cabinets d’aisance : des toilettes pour ses salariés.

Comment utiliser un bidet ?

Depuis les années 70, les français ont progressivement renoncé à leur bidet au profit de rouleaux de papier toilette. Certaines générations se demandent même à quoi peut servir un bidet. En France, les rares bidets qui ont franchi les années 90 servent à se laver les pied… Ainsi, les français doivent réapprendre le fonctionnement et l’utilisation de cet étrange équipement sanitaire tant convoité fût une époque.

L’invention de l’urinette pisse debout des femmes

La différence entre les deux sexes impose naturellement à chacun d’eux une position spécifique pour uriner. Ainsi, l’homme pisse debout tandis que la femme s’accroupit au plus près du sol ou s’assoit sur un sanitaire. Telle est la volonté de la nature, plus précisément de la génétique humaine. Mais serait il possible que les filles disposent d’un pénis dans leur sac à main afin de pisser debout au féminin ?

Toilettes japonaises vibrantes pour les fesses

La toilette japonaise est maintenant capable d’une nouvelle prouesse technologique. Elle peut faire vibrer les fesses de celui qui l’utilise ! Les vibrations produites par l’abattant permettent de faire des mesures précises sur le corps aux fins d’analyses.

Aller aux toilettes avant de faire l’amour…

Qui n’a jamais connu cette situation cocasse et stressante, d’avoir une subite envie d’aller aux toilettes juste avant de vouloir s’inviter contre le corps de son être aimé ? Désolé chéri (e), donne moi 2 minutes pour aller faire caca et je reviens pour notre ébat ! Un passage au petit coin se doit d’être discret sous peine d’être un “tue l’amour” qu’il vaut mieux éviter avant d’avoir une relation charnelle, surtout si c’est lors d’une première fois avec un nouvel amoureux ou amoureuse.

Le choix des toilettes publiques unisexes

Les toilettes publiques unisexes sont des sanitaires publics qui sont neutres, c’est à dire sans séparation liée au sexe de l’utilisateur. Elles sont également appelées mixtes, inclusives, non sexistes. Ces toilettes suscitent des débats passionnés car elles impactent le fonctionnement de la vie en société et bousculent les usages établis.

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