LA TRANSMISSION FECO-ORALE
Corona virus Covid 19, poliomyélite, SRAS, gastro-entérite
Le virus de la poliomyélite se transmet par contact des mains avec des selles contaminées, favorisant une contamination féco-orale. De la même manière, le virus du SRAS a pu être propagé par voie fécale. Face à ces constats, une question se pose : la transmission secondaire du coronavirus COVID 19, en dehors de la voie respiratoire, est-elle possible via des excréments infectés ?
Prendre soin de ses fesses aux toilettes ?
Se protéger contre les maladies infectieuses ne se limite pas au port du masque. Une hygiène rigoureuse des mains et des surfaces est essentielle pour éviter la transmission de nombreux virus, y compris ceux pouvant être présents dans les selles. L’hygiène des sanitaires et le lavage des mains restent des gestes de prévention incontournables.

Contre la transmission des virus il est nécessaire de se laver les mains après un passage aux toilettes
Les voies de transmission du coronavirus
La transmission principale du coronavirus s’effectue par les gouttelettes respiratoires émises lors de la toux ou des éternuements d’une personne infectée. C’est le constat établi par les chercheurs ayant étudié les premiers cas de COVID-19. Cependant, ces recherches se sont principalement concentrées sur des patients présentant des symptômes respiratoires, ce qui pourrait avoir conduit à négliger d’autres formes de transmission, notamment celles impliquant le système digestif.
La transmission féco-orale du coronavirus doit donc être prise en considération. Des études publiées dans la revue Gastroenterology (Gu J, Han B, Wang J. COVID-19 – Gastrointestinal manifestations and potential fecal-oral transmission. Gastroenterology 2020, DOI) soulignent que le virus pourrait se propager par cette voie en raison de mauvaises pratiques d’hygiène, d’un manque d’assainissement ou encore de la consommation d’eau et d’aliments contaminés.
Les matières fécales, en particulier en cas de diarrhée, pourraient ainsi constituer une voie secondaire de transmission. Le premier patient américain porteur du coronavirus a présenté des diarrhées, et le virus a ensuite été détecté dans ses selles. Des observations similaires ont été faites en Chine, renforçant l’idée que le COVID-19 pourrait également se propager via les excréments.

700 millions d’êtres humains défèquent en plein air quotidiennement. L’absence de toilettes et de système d’assainissement entrainent la transmission des virus
Ce mode de transmission n’est pas nouveau pour les infections virales. Les rotavirus, responsables de nombreux cas de gastro-entérite, sont également transmis par l’eau et les aliments contaminés ou par contact direct avec une personne infectée. Le respect strict de ces règles est crucial pour limiter la propagation des infections et protéger la santé publique, particulièrement en période épidémique. La prévention repose sur des gestes d’hygiène simples mais essentiels :
- Se laver les mains rigoureusement après être allé aux toilettes ou avoir changé un bébé.
- Nettoyer et désinfecter régulièrement les surfaces de contact.
- Éviter que des personnes malades ne préparent les repas.
- Ne pas partager verres, couverts et autres ustensiles à table.
Comprendre le mode de transmission féco-orla du coronavirus
La compréhension des différents modes de transmission du COVID-19 est essentielle pour limiter sa propagation. Deux études ont permis de suivre le virus du système gastro-intestinal jusqu’à l’œsophage, suggérant ainsi une possible transmission féco-orale.
1. Etude des symptômes gastro-intestinaux
Des recherches menées par la Shanghai Jiao Tong University School of Medicine indiquent que si les symptômes respiratoires restent les manifestations les plus courantes du COVID-19, certains patients présentent également des symptômes gastro-intestinaux tels que la diarrhée, les nausées et les vomissements.
Ces symptômes peuvent apparaître avant les troubles respiratoires, ce qui suggère que le virus pourrait initialement infecter le système digestif. Des cas ont ainsi été rapportés où des patients atteints de COVID-19 présentaient des selles testées positives au virus. Lors de l’épidémie de SRAS, des symptômes gastro-intestinaux similaires avaient été associés à la présence du virus, y compris chez des patients considérés comme guéris.

Nos déjections apportent virus et bactéries dans nos toilettes et wc. Nos mains sont des vecteurs de transmission.
Les chercheurs estiment donc que le système digestif pourrait être une voie d’infection alternative. Ils recommandent ainsi une surveillance accrue des patients présentant des troubles gastro-intestinaux afin de permettre un diagnostic précoce, un isolement rapide et une prise en charge adaptée.
2. Le risque de la transmission féco-orale
Une étude menée par l’équipe de la Sun Yat-sen University à Zhuhai, dans la province du Guangdong, s’est également penchée sur cette possibilité. Si le COVID-19 est principalement connu pour provoquer des maladies respiratoires et se transmettre par voie aérienne, les scientifiques rappellent que toutes les cellules et organes cibles du virus n’ont pas encore été identifiés avec certitude.
Les chercheurs ont ainsi exploré l’hypothèse d’une infection virale gastro-intestinale et d’une éventuelle transmission féco-orale. L’analyse de l’ARN viral de certains patients a confirmé la présence du virus dans leurs selles, ce qui pourrait indiquer un mode de contamination alternatif.
Face à ces observations, les scientifiques recommandent de renforcer la prévention contre la transmission féco-orale afin de mieux contrôler la propagation du virus. De son côté, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime que cette voie de transmission ne semble pas être la principale cause de diffusion du coronavirus, tout en soulignant que son rôle exact reste encore à déterminer.

Une cuvette de wc dans des toilettes publiques et une mauvaise hygiène entraine des risques de contamination de virus.
Risque féco-oral du coronavirus comme pour le SRAS ?
Il est essentiel de rappeler que le virus de la poliomyélite se transmet par voie féco-orale, démontrant ainsi que certains pathogènes peuvent utiliser cette voie de contamination. En 2003, la transmission par voie fécale du virus du SRAS a conduit à la contamination de centaines de résidents dans un complexe immobilier de Hong Kong. L’air chaud circulant depuis les toilettes des salles de bain s’était propagé par les conduits d’aération, entraînant une contamination aérienne en chaîne entre plusieurs appartements. Le virus avait ensuite été transporté par le vent vers des immeubles voisins, aggravant la propagation de l’épidémie.
L’institut pasteur souligne que si le SRAS se transmet d’homme à homme principalement par les gouttelettes respiratoires, l’épidémie survenue dans ces immeubles de Hong Kong a soulevé des interrogations sur une possible transmission par les sanitaires. Cette hypothèse est renforcée par le fait que 66 % des malades présentaient des diarrhées, contre seulement 2 à 7 % habituellement.
Selon Jiayu Liao, bioingénieur à l’Université de Californie, le 2019-nCoV retrouvé dans les selles pourrait également se transmettre par voie fécale. Il souligne toutefois que la durée de survie du virus en dehors du corps humain reste encore mal connue, nécessitant des études approfondies pour évaluer ce risque avec précision.

L’abattant de toilette japonaise possède une douchette à jet d’eau qui permet de laver des fesses sans contact des mains
Le WC japonais, une solution d’hygiène optimale
Le WC japonais lavant et séchant offre une solution révolutionnaire pour l’hygiène intime. Grâce à son jet d’eau réglable et à son système de séchage à air chaud, il permet de se nettoyer sans contact direct des mains avec les selles, réduisant ainsi considérablement les risques de contamination fécale. Contrairement aux toilettes classiques qui nécessitent l’usage de papier toilette, ce système de toilette japonaise limite la propagation des bactéries et des virus, en particulier ceux pouvant être transmis par voie féco-orale.
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Conserver le coronavirus entre ses fesses ?
Le coronavirus peut se retrouver dans les selles d’un individu porteur et rester en contact avec la peau après la défécation. Le papier toilette, bien qu’il essuie la région anale, ne permet pas un nettoyage complet. Ainsi, le virus présent dans les matières fécales peut persister entre les plis et sillons de l’anus, des zones inaccessibles au papier.
Pire encore, il peut rapidement être transféré sur des objets du quotidien comme un bouton de pantalon, une braguette, une boucle de ceinture ou le tissu d’une robe. La contamination devient alors inévitable si les mains entrent en contact avec ces surfaces avant d’être lavées.

La douchette anale contrôlée par la télécommande du wc japonais envoie un jet d’eau pour l’hygiène intime des fesses et supprime les risques de transmission d’un virus
Il est rare que quelqu’un se lave les mains immédiatement après s’être essuyé, avant même d’avoir refermé ses vêtements. Or, déjà qu’une grande partie de la population ne se lave pas systématiquement les mains après être allée aux toilettes, ceux qui accomplissent ce geste d’hygiène risquent tout de même de contaminer leurs vêtements avant de pouvoir se nettoyer correctement.
L’utilisation d’un WC japonais lavant et séchant élimine ce problème en permettant un nettoyage complet à l’eau suivi d’un séchage sans contact manuel, garantissant ainsi une hygiène optimale et limitant la propagation des virus et bactéries.
La mauvaise hygiène des français au service d’un virus
Tout au long de la journée, chacun accomplit des gestes anodins : ajuster sa ceinture en plein repas, rentrer sa chemise dans son pantalon, remettre en place une jupe… avant de se toucher le visage, de manipuler une poignée de porte, une souris d’ordinateur, un stylo ou tout autre objet collectif. Ces contacts répétés facilitent la propagation des virus, y compris par voie oro-fécale, comme cela a été démontré pour la poliomyélite et le SRAS.

Un abattant japonais offre de pouvoir se laver les fesses sur une cuvette wc et de prévenir les risques de transmission d’un virus
L’usage exclusif du papier toilette après la défécation ne permet pas un nettoyage complet, laissant des résidus de matières fécales sur la peau. Conserver ces traces entre ses fesses, c’est peut-être héberger un virus sur son anus et risquer, par simple négligence, d’en être un vecteur involontaire.
Comment comprendre qu’en France, des professionnels manipulant quotidiennement de la nourriture ou du matériel médical — restaurateurs, boulangers, caissiers, facteurs, médecins, chirurgiens, infirmiers — continuent d’utiliser uniquement du papier pour s’essuyer avec du papier, alors que cela implique un contact direct avec les selles ? Cette habitude, bien ancrée dans les pays occidentaux, contraste fortement avec celle des Japonais, qui privilégient des toilettes lavantes à jet d’eau garantissant une hygiène bien plus rigoureuse.
Le WC japonais lavant, équipé d’une douchette intégrée, permet de laver en profondeur la région anale sans contact manuel, évitant ainsi toute transmission de virus ou bactéries. Cette innovation sanitaire, courante au Japon et en Corée du Sud, pourrait expliquer en partie les taux de contamination plus faibles observés dans ces pays à forte densité de population, par rapport aux pays latins comme la France, l’Espagne ou l’Italie.

La télécommande d’un abattant wc japonais supprime l’essuyage des fesses au papier toilette
Dans ces pays asiatiques, même dans des lieux publics très fréquentés comme les métros de Tokyo ou Nagoya, il est possible de se laver les fesses sans toucher directement la zone. Une telle pratique réduit considérablement les risques de contamination, empêchant la diffusion d’agents pathogènes dans des environnements où la promiscuité est inévitable. Il est temps d’adopter une nouvelle hygiène intime et collective, en intégrant des solutions modernes comme le WC lavant japonais, afin de limiter la propagation des infections et de garantir une propreté optimale.
Le wc japonais lavant contre une transmission fécale
Le WC japonais lavant ne se limite pas à nettoyer efficacement la région anale : il contribue également à une meilleure hygiène des mains en supprimant tout contact avec les excréments. Grâce à son jet d’eau précis et réglable, il permet un nettoyage optimal sans avoir besoin d’utiliser du papier toilette, réduisant ainsi les risques de propagation des virus comme le SRAS, la poliomyélite et potentiellement le coronavirus, si une transmission féco-orale est avérée.
Restons propres… lavons-nous les fesses ! Sauvons des vies… ne touchons pas nos fèces !

Contre les risques de transmission d’un virus, offrez à vos fesses un wc japonais lavant séchant à télécommande
Contrairement aux toilettes classiques qui nécessitent l’intervention des mains pour un essuyage manuel, la toilette japonaise lavante permet une propreté irréprochable sans contact. Plébiscité au Japon, ce sanitaire délivre un jet d’eau anal qui élimine tout résidu de matières fécales sans l’utilisation de papier toilette et sans solliciter les doigts.
En supprimant toute interaction entre les mains et les excréments, le WC lavant japonais empêche la transmission de virus par contact indirect. Il constitue ainsi une réponse efficace contre la transmission oro-fécale des agents pathogènes et offre une solution d’hygiène avancée adaptée aux enjeux sanitaires actuels.