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Le virus de la poliomyélite se transmet par un contact des mains avec les selles favorisant une contamination féco-orale. De même, le virus du SRAS a pu être transmis par voie fécale. La transmission secondaire du coronavirus COVID 19, autre que par voie respiratoire, serait elle possible via des excréments contaminés par le virus ?

PORTER UN MASQUE, C’EST BIEN… MAIS CA NE DISPENSE PAS DE S’ESSUYER LES FESSES !

Les voies de transmission du coronavirus

La voie principale de transmission du coronavirus se ferait par des gouttelettes chargées de virus provenant de la toux d’un individu infecté. C’est le constat des chercheurs qui ont travaillé sur les premiers cas de COVID-19. Cependant, ceux-ci se sont concentrés sur des cas de patients avec des symptômes respiratoires. Alors, les chercheurs pensent qu’ils pourraient avoir négligés les cas liés au système digestif.

En conséquence, la transmission féco-orale du coronavirus doit également être prise en considération pour prévenir la propagation du COVID-19 d’après les auteurs d’études publiées dans la revue Gastroenterology (Gu J, Han B, Wang J. COVID-19- Gastrointestinal manifestations and potential fecal-oral transmission. Gastroenterology 2020, DOI). Celles-ci décrivent des manifestations gastro-intestinales et précisent l’hypothèse d’une voie de transmission oro-fécale liée à de mauvaises pratiques hygiéniques mais aussi en cas de problèmes d’assainissement ou d’un accès à une eau et à des aliments souillés.

Les matières fécales, en particulier lors d’une diarrhée, pourraient donc être une voie secondaire de transmission du coronavirus. Ainsi, le premier patient américain porteur du nouveau coronavirus a été victime de diarrhées et le COVID-19 a ensuite été détecté dans ses selles. Des cas similaires ont été documentés en Chine.

Il est utile de rappeler que les deux tiers des cas de gastro-entérite sont causés par des virus comme les rotavirus. La gastro-entérite se propage par la consommation d’aliments ou d’eau contaminés, ainsi que par des contacts directs avec les malades. En période à risque pour lutter contre la propagation de la gastro-entérite, des gestes très simples permettent d’éviter les épidémies. L’hygiène des mains et des surfaces est primordiale notamment lors de la préparation des repas… avec pour impératif absolu celui de parfaitement se laver les mains après être allé aux wc ou avoir changé un bébé. Aussi, les personnes malades ne doivent pas assurer la préparation des repas et également penser à ne pas partager à table un verre d’eau ou un couvert.

Comprendre le mode de transmission féco-orla du coronavirus

La compréhension des différents modes de transmission du COVID-19 est essentielle pour stopper sa propagation. Ainsi, 2 études permettent de suivre le virus du système gastro-intestinal à l’oesophage :

1.Etude des symptômes gastro-intestinaux

La Shanghai Jiao Tong University School of Medicine, suggère que si les symptômes respiratoires du COVID-19 représentent les manifestations les plus courantes de l’infection, il existe des symptômes moins courants comme la diarrhée, des nausées, des vomissements.
Ces symptômes gastro-intestinaux présents chez certains patients interviennent même avant les symptômes respiratoires. Les chercheurs rappellent des cas d’infection au COVID-19 avec des nausées et des vomissements ainsi que des selles testées positives.
Lors de l’épidémie de SRAS, ces troubles gastro-intestinaux avaient été associés à la détection du virus même chez les patients guéris.

Les chercheurs estiment donc que le système digestif peut servir de voie d’infection alternative. Ainsi, ils préconisent une surveillance des patients avec des symptômes gastro-intestinaux pour un diagnostic, un isolement et une intervention plus précoces.

2.Le risque de la transmission féco-orale

Une équipe de la Sun Yat-sen University, Zhuhai, (Guangdong Province) soutient aussi que si l’infection virale provoque des maladies respiratoires qui se propagent principalement par voie respiratoire d’humain à humain, les cellules et organes cibles du COVID-19 n’ont pas été tous identifiés.

Les chercheurs s’interrogent donc sur une possible infection virale gastro-intestinale avec une éventuelle voie de transmission féco-orale. Ainsi, l’analyse de l’ARN viral de certains patients infectés a confirmé que le virus s’est bien répandu dans leurs selles. Alors, les scientifiques de cette université n’excluent pas la possibilité d’une transmission oro-fécale.

En conséquences, les chercheurs recommandent une prévention de la transmission féco-orale afin de contrôler la propagation du virus. De même, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) conclu que si la voie féco-orale ne semble pas être le mode de transmission de coronavirus, son rôle reste à déterminer.

Risque féco-oral du coronavirus comme pour le SRAS ?

Il est important de rappeler que le virus de la Poliomyélite se transmet par un mode féco-oral.
Aussi, la transmission par voie fécale du virus du SRAS a entrainé la contamination de centaines de résidents d’un quartier d’immeubles de Hongkong en 2003. Par les conduits d’aération, de l’air chaud circulant depuis les toilettes des salles de bain avait entrainé une contamination aérienne en chaine de plusieurs appartements. Ensuite, le virus du SRAS avait été transporté par le vent vers les immeubles voisins.

Selon l’institut pasteur, l’épidémie de SRAS, transmise d’homme à homme par l’air, probablement par des gouttelettes de salive contaminées, survenue dans ces immeubles de Hong Kong a interrogé sur la possibilité d’une transmission locale par les sanitaires. En effet, « 66% des malades étaient atteints de diarrhées contre 2 à 7% habituellement«  !

Selon Jiayu Liao, bioingénieur d’une Université de Californie, « le 2019-nCoV retrouvé dans les selles pourrait se transmettre par voie fécale », « nous ne savons pas encore combien de temps ce virus peut survivre en dehors du corps».

Conserver le coronavirus entre ses fesses ?

Le coronavirus peut donc se retrouver dans les selles d’un individu porteur… et rester au chaud entre ses fesses après la défécation. En effet, le papier ne fait qu’essuyer la région anale. Alors, le virus présent dans les fèces, peut rester entre les plis et sillons de l’anus qui restent inaccessibles au papier toilette.

Mieux encore, le virus peut rapidement être invité à contaminer un bouton de pantalon, une braguette, une boucle de ceinture, le tissu d’une robe… Il est évident que peu de gens se rendent vers un lavabo pour s’y laver les mains avec le pantalon sur les genoux ou une robe relevée les fesses à l’air. Déjà qu’une grande partie de la population ne se lave pas les mains après être allée aux wc, ceux qui accomplissent un geste d’hygiène contaminent leur vêtements avant de se laver les mains.

 

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La mauvaise hygiène des français au service d’un virus

Ensuite, tous le monde accomplit des gestes anodins toute la journée, comme régler sa ceinture au cours d’un repas, ajuster sa chemise dans son pantalon, etc… pour après se gratter le nez, se frotter les yeux ou toucher une poignée de porte, une souris d’ordinateur, un stylo ou tout autre objet collectif. Le coronavirus COVID-19 est susceptible de se transmettre par voie oro-fécale de la même manière que le virus de la poliomyélite ou que le SRAS. Conserver des traces d’excréments entre ses fesses en s’obstinant à vouloir s’essuyer, c’est peut être prendre le risque d’héberger un virus sur son anus.

Comment comprendre qu’à l’opposé des japonais, les restaurateurs, les boulangers, les caissières de supermarchés, les facteurs et même les médecins, les chirurgiens, les infirmiers français… s’essuient les fesses avec leurs doigts dans du papier ??? Il est temps que les français adoptent une nouvelle hygiène intime et collective. Le wc lavant japonais à douchette ou toilette japonaise lavante à jet d’eau, permet de se laver à grande eau la région anale sans aucun contact des mains pour empêcher toute transmission d’un virus en provenance d’une matière fécale.

Il est surprenant de constater que le Japon et la Corée du Sud, pays où la population est extrêmement dense, présentent des cas de transmission du coronavirus extrêmement faibles en comparaison de pays latin comme la France, l’Espagne ou l’Italie. Il est encore plus surprenant de constater que dans ces pays l’hygiène aux toilettes se réalise avec des wc lavants à jet d’eau. Même dans les métros de Tokyo ou Nagoya, il est possible de se laver les fesses sans faire usage de ses doigts… évitant ainsi de contaminer des rames entières où les voyageurs sont collés les uns aux autres…

Dès 1982, les Japonais vantaient les qualités de leurs wc à jet d’eau dans une publicité à la télévision :

Traduction : «  Mesdames et Messieurs, quand vos mains sont sales, vous les lavez, n’est-ce pas ? Personne ne se lave les mains en les essuyant simplement avec du papier, n’est-ce pas ? Pourquoi donc ? On ne peut pas se nettoyer les mains avec du papier. Et pour les fesses, c’est pareil ! « Les fesses aussi veulent être nettoyées ».

L'achat d'une douchette wc japonais offre l'opportunité d'une réelle hygiène !

 

Le wc japonais lavant contre une transmission fécale

Le WC japonais permet non seulement de se laver les fesses aux toilettes mais il contribue aussi à une parfaite hygiène des mains. Son petit jet d’eau en évitant tout contact des mains avec les excréments peut empêcher la propagation d’un virus comme le SRAS ou la poliomyélite. Alors, il peut aussi éviter la propagation du coronavirus si celui-ci peut proliférer via une transmission féco-orale.

Restons propres… lavons nous les fesses ! Sauvons des vies… ne touchons pas nos fèces !

La toilette japonaise lavante ne sollicite pas la main et ses doigts pour un essuyage de la zone anale. Ce sanitaire plébiscité au Japon délivre un jet d’eau anal qui permet une propreté irréprochable sans faire usage de papier « hygiénique » et d’une main. Le wc lavant japonais interdit les contacts avec les excréments lors du nettoyage des fesses. Ainsi, les mains ne peuvent plus être des vecteurs de contamination de virus. La toilette japonaise lavante est une réponse à la propagation et à la transmission oro-fécale des virus en raison de ses nombreux avantages.

L’évolution humaine aux toilettes, des feuilles d’arbres au wc japonais

Tout évolue par besoin de confort. Les feuilles des arbres ont laissé place à d’autres matières et matériaux. Du foin, des raclettes en bois, des coquillages, des éponges, de la laine de mouton, des chiffons, des tissus plus nobles, du papier journal… jusqu’au formidable wc japonais.

Le wc bidet intégré assure la toilette intime sur la cuvette

De nos jours, se laver les fesses sur un wc japonais est extrêmement pratique. Mais se laver à l’eau n’a pas toujours été possible… Ainsi, au XIV siècle, à l’exception des mains et du visage, la toilette corporelle est essentiellement sèche. C’est à dire que les parties sales du corps étaient simplement nettoyées sans liquides, uniquement frottées à l’aide d’un linge ou d’un autre accessoire (paille, laine, feuilles, etc…).

L’intérêt du monde pour les wc japonais évolue doucement

Le wc japonais, qui offre basiquement l’intégration d’un bidet sur une cuvette de sanitaire, semble devoir confiner son destin au seul Japon, voir juste à sa proche périphérie asiatique. Il y a un sentiment d’échec pour l’étranger tant les ventes restent encore confidentielles malgré des décennies d’effort de la part d’entreprises nipponnes qui rêvent de conquérir le monde. Cependant depuis quelques mois, les ventes se réchauffent surtout aux USA. Mais pourquoi un changement de paradigme aussi soudain ?

Le high tech au service des toilettes japonaises

Les japonais ne se touchent plus les fesses (du moins aux toilettes) et les pays d’Asie suivent le pas pour acheter en masse des wc lavants. En vente depuis les années 80, le sanitaire à jet d’eau devenu wc japonais pour le reste du monde ne cesse de s’équiper de fonctions toujours plus avancées au point de devenir connecté et d’accueillir une intelligence artificielle…

La toilette économique sans papier

Savez vous qu’en vous essuyant les fesses avec du papier vous jetez votre argent dans votre cuvette de wc ? Savez vous qu’une toilette économique supprime ce besoin en papier ? La très grande partie de la population française ne dispose pas de toilette lavante, ce wc japonais équipé de sa douchette intégrée.

Comment se laver les mains après les toilettes ?

Il est une chose qui s’apprend à la maternelle mais qui s’oublie vite dès l’adolescence, alors que la présence d’un adulte n’oblige plus à un acte important. Alors, en quittant un lieu d’aisance, il faut penser à se protéger et à protéger les autres d’un manque d’hygiène. C’est pourquoi il est impératif de se laver les mains après s’être rendu sur le trône ou devant un urinoir.

Le choix des toilettes publiques unisexes

Les toilettes publiques unisexes sont des sanitaires publics qui sont neutres, c’est à dire sans séparation liée au sexe de l’utilisateur. Elles sont également appelées mixtes, inclusives, non sexistes. Ces toilettes suscitent des débats passionnés car elles impactent le fonctionnement de la vie en société et bousculent les usages établis.

Les toilettes spatiales des astronautes pour se soulager dans l’espace

Les besoins physiologiques humains restent les mêmes dans l’espace. L’utilisation d’un wc spatial n’est surement pas l’aspect le plus glamour des voyages spatiaux et l’expérience dont les astronautes parlent le plus. Apres mangé et bu, il faut déféquer et uriner. Cependant, la difficulté majeure par rapport à la terre est l’absence de pesanteur pour une utilisation correcte d’un sanitaire.  

Découvrir l’urinoir féminin

Un urinoir féminin est un accessoire intime qui permet à une femme de pouvoir uriner debout comme un homme. En effet, « pisser debout » avec un urinoir de poche est un acte qui simplifie la vie au féminin. C’est une position pratique et indispensable pour les filles qui ne peuvent accéder à des toilettes idéalement proches, libres et propres.

La parcoprésie ou la honte d’aller déféquer en public

La parcoprésie définit l’incroyable gêne, et jusqu’à la phobie, de déféquer ailleurs que chez soi. Le sujet peut paraitre cocasse mais près de 7 Français sur 10 reconnaissent être gênés à l’idée de simplement « chier » dans une situation de non-intimité, c’est à dire en dehors de chez eux.

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